Une existence recluse
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Une existence recluse
"Seul tu affronteras ton destin !"
Voila trois lunes que Galëad'Ionesca était née. Il avait un teint pâle, les cheveux blonds. Trois lunes et déjà, il avait souffert d'atroces souffrances. D'abord marqué au fer rouge d'un cercle percé, il avait été abandonné par des gardes de l'illustre Ashan' Delor. Ses parents, necromanciens avaient rejeté la voie que leur réservaient nombres de pretres et autres vains personnages de cette race. La necormancie avait livré tous ses secrets. Si bien qu'un jour, et ce fut la raison de leur banissement et leur execution, ils parvinrent à faire revivre un ancien Ingaran, mort depuis des lustres. Cette affront au repos de l'ame de l'Elfe s'était vite ébruité. On voulait une sentance.
"Destitué de leur ame, le corps brulé, Köramn Hëleas et Tarruri Hëleas erreront dans les méandres des cachots d'Erdhu."
Ce qu'ils ne savaient pas, c'était l'existence d'un fils. Protégé par moults envoutements, l'enfant, avait survecu sans nourriture ni eau dans une foret comme on en trouve près de la Capitale.
Ce fut un magicien, comme tous les Elfes en son temps, qui découvrit le corps glacé de l'enfant. D'abord repoussé par les enchantements, puis voyant ses tentaives échouer, il réussit par un ultime effort à percer le cocon. Il prit l'enfant, reconnu très vite les enchantements maléfiques et avertit son Ingaran.
Le fer laissa sa marque. Ainsi, l'enfant se retrouvit seul dans l'imensité du monde avec tant de proies à sa portée.
Jamais, il n'avait perdu sa rancoeur contre ses anciens. Il le savait, il les affronterait de nouveau mais cette fois ci, il comptait bien changer la donne.
Le monde connaissait alors l'avènement d'une telle puissance qu'il en serait bouleversé.
Très vite il le comprit. Une chose comptait; lui. Un être avait de l'importance; lui. Ce sentiment fut renforcé par l'apparition de Cemiros. Sortit de son tartare poura vertit son fidèle. Le dieu Sombre avait vu en lui un renouveau pour sa personne. Ses seul paroles furent alors énnoncées lors d'une trans qui permettait a Gilëad' de trouver les sortilèges des ses parents. Ce ne fut que lorsqu'il se réveillé, que ces paroles résonnèrents des jours entiers dans sa tête.
On n'attaque pas seulement pour faire du mal à quelqu'un mais peut-être aussi pour le seul plaisir de prendre conscience de sa force. Prend conscience de ta force et celle ci vas croitre. Maitrise la et elle te sera infinie.
Il le savait cette force n'attendait qu'une chose, la mort d'un etre.
Voila trois lunes que Galëad'Ionesca était née. Il avait un teint pâle, les cheveux blonds. Trois lunes et déjà, il avait souffert d'atroces souffrances. D'abord marqué au fer rouge d'un cercle percé, il avait été abandonné par des gardes de l'illustre Ashan' Delor. Ses parents, necromanciens avaient rejeté la voie que leur réservaient nombres de pretres et autres vains personnages de cette race. La necormancie avait livré tous ses secrets. Si bien qu'un jour, et ce fut la raison de leur banissement et leur execution, ils parvinrent à faire revivre un ancien Ingaran, mort depuis des lustres. Cette affront au repos de l'ame de l'Elfe s'était vite ébruité. On voulait une sentance.
"Destitué de leur ame, le corps brulé, Köramn Hëleas et Tarruri Hëleas erreront dans les méandres des cachots d'Erdhu."
Ce qu'ils ne savaient pas, c'était l'existence d'un fils. Protégé par moults envoutements, l'enfant, avait survecu sans nourriture ni eau dans une foret comme on en trouve près de la Capitale.
Ce fut un magicien, comme tous les Elfes en son temps, qui découvrit le corps glacé de l'enfant. D'abord repoussé par les enchantements, puis voyant ses tentaives échouer, il réussit par un ultime effort à percer le cocon. Il prit l'enfant, reconnu très vite les enchantements maléfiques et avertit son Ingaran.
Le fer laissa sa marque. Ainsi, l'enfant se retrouvit seul dans l'imensité du monde avec tant de proies à sa portée.
Jamais, il n'avait perdu sa rancoeur contre ses anciens. Il le savait, il les affronterait de nouveau mais cette fois ci, il comptait bien changer la donne.
Le monde connaissait alors l'avènement d'une telle puissance qu'il en serait bouleversé.
Très vite il le comprit. Une chose comptait; lui. Un être avait de l'importance; lui. Ce sentiment fut renforcé par l'apparition de Cemiros. Sortit de son tartare poura vertit son fidèle. Le dieu Sombre avait vu en lui un renouveau pour sa personne. Ses seul paroles furent alors énnoncées lors d'une trans qui permettait a Gilëad' de trouver les sortilèges des ses parents. Ce ne fut que lorsqu'il se réveillé, que ces paroles résonnèrents des jours entiers dans sa tête.
On n'attaque pas seulement pour faire du mal à quelqu'un mais peut-être aussi pour le seul plaisir de prendre conscience de sa force. Prend conscience de ta force et celle ci vas croitre. Maitrise la et elle te sera infinie.
Il le savait cette force n'attendait qu'une chose, la mort d'un etre.
Dernière édition par Galadion le Mer 23 Avr - 16:03, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Une existence recluse
"La nécessité est un mal, il n'y a aucune nécessité de vivre sous l'emprise de la nécessité."
Cette pensée, autrefois discutée par son peuple et écoutée, ne déclenchait chez Gilëad'Ionesca qu'un sourire noir et un rictus mauvais. Depuis son bannissement, il le savait, ces morales n'avaient plus lieux d'être.
S'entrainant sans relâché, il commença à parcourir de vastes étendues. Il était clair qu'il lui fallait une monture digne des plus grands coursiers pour survoler en quelques jours plusieurs dizaine de Miles. Ce serait son premier Larcin. Premier d'un longue suite inarretable de vols, pillages et autres agressions dans l'objectif d'un peu de nourriture, d'une arme scintillante, de quelques pièces trop facilement gagnées à son idée par de gens aisés, peut être trop.
Bref, il aperçu très vite sa cible. Elle était jeune et semblait vaillante. Une cible visiblement facile. Mais avec un temps d'observation suffisant, on pouvait remarquer que son maitre portait deux armes près de ses hanches et avait une fâcheuse manie d'étendre les bras. Ce mouvement pouvait surprendre si l'on ne s'y attendait pas, et qu'elle en fut les conséquences si Gilëad dû le tuer dans la rue.
Il était petit, il pouvait encore se faufiler dans les ruelles et entre de longues barrières de hêtres qui jalonnaient les rues. Il était fixé; une approche naïve mais d'un pas déterminé et le voila à quelques pas de son charmant donateur.
Il suivit un instant la monture. puis, sans demandé son reste, il coupa les reines qui étaient tenues par l'homme. Cravachant le cheval, il subtilisa d'un geste rapide mais efficace l'homme d'une de ses armes. Puis, prenant un élan considérable, et grâce à sa fougue de jeunesse, il rattrapa la monture qui s'en était allé quelque pas au delà.
L'homme, abasourdit, ne put que constater le larcin. Il ne reconnut pas son agresseur, mais l'acte allait désormais répertorier Gilëad comme bandit sans foi ni loi.
Avec cette monture, et à une allure plus rapide, il continua son cheminement vers une ville nommé Loch'Jaden. Là bas, et selon les écrits, il pourrait apprendre le maniement d'une dague à la perfection, la dissimulation dans les terrains boisés et augmenter sa dextérité afin de pouvoir, à sa guise, démembrer et torturer ses adversaires.
Parsemant son voyage de crimes et délits en tout genre, il est bon de remarquer que ce fut une époque très "productive" pour Gilëad'Ionesca mais que ces larcins ne s'élevaient pas encore aux meurtres.
Sans cesse, il répétait le seul morceau de phrase qui l'interessait.
la nécessite est un mal....
la nécessite est un mal...
la nécessité est un mal..
la nécessité est un mal.
Il avait trouvé un moyen si efficace de ne pas sombrer dans la nécessite, qu'il se demandait pourquoi ses idiot d'ancêtres n'y avaient guère songé. Il y aura toujours des personnes riches, plus riches, toujours plus riches. Il suffisait d'équilibrer, à sa manière et à son gré cette répartition.
Mais cette pensée fut vite remplacée par un instinct de chasse et une envie continuelle d'un danger relatif à voler toutes sortes d'objets, couteaux, bijoux, nourritures ou autres boissons...
Il avait un certain penchant, malgré son jeune age pour cette dernière denrée. Si bien qu'une fois, de passage dans un patelin humain, il égorgea deux vaches et le chien de garde, pensant assassiner les montures d'un roi trop burlesque à son gout, qu'il aurait aperçu dans la taverne voisine. Ce jour la, le réveil fut dur et dans un flaque de sang dont il mis quelques jours à s'en détacher.
Mais la route continuait, trop lent à son gout, son voyage reprenait chaque jour, s'approchant un peu plus de sa prochaine étape.
Cette pensée, autrefois discutée par son peuple et écoutée, ne déclenchait chez Gilëad'Ionesca qu'un sourire noir et un rictus mauvais. Depuis son bannissement, il le savait, ces morales n'avaient plus lieux d'être.
S'entrainant sans relâché, il commença à parcourir de vastes étendues. Il était clair qu'il lui fallait une monture digne des plus grands coursiers pour survoler en quelques jours plusieurs dizaine de Miles. Ce serait son premier Larcin. Premier d'un longue suite inarretable de vols, pillages et autres agressions dans l'objectif d'un peu de nourriture, d'une arme scintillante, de quelques pièces trop facilement gagnées à son idée par de gens aisés, peut être trop.
Bref, il aperçu très vite sa cible. Elle était jeune et semblait vaillante. Une cible visiblement facile. Mais avec un temps d'observation suffisant, on pouvait remarquer que son maitre portait deux armes près de ses hanches et avait une fâcheuse manie d'étendre les bras. Ce mouvement pouvait surprendre si l'on ne s'y attendait pas, et qu'elle en fut les conséquences si Gilëad dû le tuer dans la rue.
Il était petit, il pouvait encore se faufiler dans les ruelles et entre de longues barrières de hêtres qui jalonnaient les rues. Il était fixé; une approche naïve mais d'un pas déterminé et le voila à quelques pas de son charmant donateur.
Il suivit un instant la monture. puis, sans demandé son reste, il coupa les reines qui étaient tenues par l'homme. Cravachant le cheval, il subtilisa d'un geste rapide mais efficace l'homme d'une de ses armes. Puis, prenant un élan considérable, et grâce à sa fougue de jeunesse, il rattrapa la monture qui s'en était allé quelque pas au delà.
L'homme, abasourdit, ne put que constater le larcin. Il ne reconnut pas son agresseur, mais l'acte allait désormais répertorier Gilëad comme bandit sans foi ni loi.
Avec cette monture, et à une allure plus rapide, il continua son cheminement vers une ville nommé Loch'Jaden. Là bas, et selon les écrits, il pourrait apprendre le maniement d'une dague à la perfection, la dissimulation dans les terrains boisés et augmenter sa dextérité afin de pouvoir, à sa guise, démembrer et torturer ses adversaires.
Parsemant son voyage de crimes et délits en tout genre, il est bon de remarquer que ce fut une époque très "productive" pour Gilëad'Ionesca mais que ces larcins ne s'élevaient pas encore aux meurtres.
Sans cesse, il répétait le seul morceau de phrase qui l'interessait.
la nécessite est un mal....
la nécessite est un mal...
la nécessité est un mal..
la nécessité est un mal.
Il avait trouvé un moyen si efficace de ne pas sombrer dans la nécessite, qu'il se demandait pourquoi ses idiot d'ancêtres n'y avaient guère songé. Il y aura toujours des personnes riches, plus riches, toujours plus riches. Il suffisait d'équilibrer, à sa manière et à son gré cette répartition.
Mais cette pensée fut vite remplacée par un instinct de chasse et une envie continuelle d'un danger relatif à voler toutes sortes d'objets, couteaux, bijoux, nourritures ou autres boissons...
Il avait un certain penchant, malgré son jeune age pour cette dernière denrée. Si bien qu'une fois, de passage dans un patelin humain, il égorgea deux vaches et le chien de garde, pensant assassiner les montures d'un roi trop burlesque à son gout, qu'il aurait aperçu dans la taverne voisine. Ce jour la, le réveil fut dur et dans un flaque de sang dont il mis quelques jours à s'en détacher.
Mais la route continuait, trop lent à son gout, son voyage reprenait chaque jour, s'approchant un peu plus de sa prochaine étape.
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